Le Comité de Groupe a donné lieu à des échanges, quelquefois intéressants sur l’évolution économique du Groupe BPCE (liquidité, ratios de solvabilité, résultats..), parfois « langue de bois » sur les sujets touchant aux ruptures conventionnelles, aux arrêts maladie et autres sujets sensibles.
Souhaitons que, maintenant que François PEROL est « brillamment » réélu à la tête du Groupe, nous allons pouvoir juger nos dirigeants sur leur politique en faveur des salariés car un groupe bancaire de 117 000 salariés ne peut vivre dans la durée sans des salariés actifs, motivés et impliqués dans la réussite de leurs entreprises.
Pour la CFDT, en effet, il y a urgence à agir sur le plan social avec la mise en place d’une véritable politique sociale Groupe ; ceci passe notamment par davantage d’accords sociaux contractualisés au niveau du Groupe et l’homogénéisation par le haut des différents statuts sociaux des salariés qui le composent.
A la Direction de passer de la parole aux actes.