La direction préfère les augmentations individuelles à la valorisation collective des rémunérations: ..Lire l’article…
3. Les tracts
De la roupie de sansonnet !!!
Du pain et des jeux voilà ce que nos patrons nous proposaient il y a quelques années avec les challenges et les maigres augmentations annuelles.Aujourd’hui ce ne sont que des miettes qu’ils nous jettent pour subsister alors que leurs salaires mirifiques dépassant largement les 200 000€ (voireles 300 000€) ne cessent de progresser, sans compter leur part variable, résultats de petits arrangements entre amis où chacun se congratule ets’augmente allègrement en cercle fermé.
Alors, BPCE employeur de référence avez-vous dit ? Il y a encore de la marge avant d’atteindre cet objectif, car le dialogue social se dégraded’année en année.Si en 2011 l’escarcelle était déjà bien légère, elle risque de littéralement s’envoler en 2012 devant l’ultime proposition de BPCE :350€ brut annuels pour les salariés à temps plein ayant un salaire brut <= à 30 000€ soit 27€ brut mensuel (20,25€ net)Et 300€ brut annuels pour un salaire < = à 60 000€ soit 23€ brut mensuel (17,25€ net)Et rien au-delà !
Augmentations de salaire
Lors de la réunion de négociation salariale du 30 novembre 2011, les dirigeants de BPCE ont présenté les effets des diverses augmentations de salaire des années 2009, 2010 et 2011.
1. Le maintien du pouvoir d’achat n’a pas été assuré par les augmentations collectives,
2. Les augmentations individuelles et les promotions ne concernent qu’une minorité,
3. Au final, tou(te)s les collègues sont perdant(e)s !
N.A.O Les revendications de la CFDT
Les Négociations Annuelles Obligatoires (NAO) commencent.
La CFDT présente des revendications qui concernent toutes et tous, sans aucune différenciation, notamment par rapport à la date d’entrée dans l’entreprise. Car si, bien évidemment, il faut s’occuper de la situation des collègues entrés avant 2002, il faut aussi s’occuper de celles et de ceux entrés depuis. Et ils représentent à présent 40% de l’effectif de la Branche … et c’est là que se trouvent les plus bas salaires.